Événements de la coterie

Bon, on va tous faire nos interscénars, c'est bien. Mais il se peut qu'on veuille se rencontrer, ou participer à des choses ensembles.

Ce serait bien de tenir la liste des événements "publics" qui concernent chacun dans un même post (par exemple ici), non ?

Excellente idée. De même, je pense que le MJ devrait faire attention à d'éventuelles complications ou aides miraculeuses que certains d'entre nous pourraient apporter aux autres. Donc peut-être laisser un à deux ans de battement à la fin des interscénarii.

alors entre 1505 et 10507, je vais essayer de venir tous vous voir... si je sais où vous êtes (avec Caravelli, en Angleterre, etc...) ça doit pas poser de problème...
Sinon, je vous chercherais 6 mois chacun....
Je vous remet une clef, une clef sans mon initiale dessus... elle ouvre la crypte secrète de la chapelle des "ignutis" à Florence, qua j'ai fait construire il y a 50 ans... cette crypte peut servir de refuge de secours à n'importe quel membre du groupe... personne n'en connait l'existence, même ma goule préférée...
Si l'un d'entre vous a des problèmes, la crypte lui est ouverte... à lui et seulement lui.... si l'on doit y cacher quelqu'un, il faut passer par un vote de la part du groupe.

Pour ma part, si je pars en torpeur, je vous prie de bien vouloir m'emmener dans cette crypte.

Tout ce que vous savez pour le moment (j'en sais pas beaucoup plus moi-même), c'est ce que vous apprenez par courrier pour Sabrov, Varga et Lazar (et par les moyens habituels pour Wilfried) :

Mithra a fait d'Alembert Baron de Salisbury et il est donc rentré dans les Baronnies d'Albion en 1498 afin de prendre possession de sa Praxis. Ce n'est pas une immense Praxis mais c'est néanmoins la 5ème ville du pays par la taille. Dans ses lettres, d'Alembert vous invite à lui rendre visite si l'envie vous en prend, il vous accueillera avec plaisir.

Ok. Je vous tiendrai au courant quand j'en serai plus...

Durant le rude hiver 1502, vous recevez une lettre assez longue de la part de Nicolas Sabrov, qui écrit qu'il va mieux que lors de votre dernière rencontre. Il apparaît clairement plus sociable et à l'aise qu'avant, et même content d'écrire à ses amis, comme le témoignent sa plume et ses formules. Il vous dit également avoir arraché (à proprement parler) le titre de baron de la lex talionis, et donc diriger la praxis qui va avec. S'adressant aux plus érudits, il vous dit avoir également une bibliothèque des plus intéressantes dans son château (notamment quelques ouvrages occultes en latin), que quiconque souhaite la consulter est bienvenu. Bien entendu, cette information ne doit pas sortir de la coterie, autant que faire se peut.

Voilà, peut-être plus à venir, peut-être pas (ça dépend si je survis ou pas).

Pour mettre les choses à jour sur d'Alembert selon ses courriers qui arrivent jusqu'en 1515, il reste en Albion pendant l'ensemble de la période. Il a un nouveau jouet qui semble le combler et n'a pas trop envie de s'en éloigner. Mises à part quelques tirades un peu pompeuses sur l'Honneur et le Devoir que vous excuserez, il vous raconte que les choses se passent plutôt bien. Sa Praxis se développe bien et accueille une petite population vampirique.
Par contre, vous comprenez que la Cour à Londres est composée largement de "nobles sans éclat dont l'activité principale est d'entraver la progression de ceux dont l'esprit et l'initiative leur est indéniablement supérieure. L'insularité anglaise n'a pas pour seule conséquence d'illustrer avec accuité les risques de la consanguinité, elle démontre aussi qu'à rancir pendant des siècles dans ce milieu fade et sans arôme, même le plus brillant des esprits peut se racornir pour ne devenir rien de mieux qu'un chien qui aboie." Vous supputez qu'il a du avoir du mal à se mélanger avec les locaux...

Plus spécifiquement pour Varga :
Le Wiltshire se développe bien et la région de Salisbury devient de plus en plus accueillante pour les caravanes et les marchands. Les routes sont sensiblement plus sûres et la ville de Salisbury tente de devenir un carrefour entre Southampton au sud, la Cornouailles à l'ouest, Londres à l'est et le reste du pays vers le nord.

Voilaaaaa !

Bon, j'en profite donc maintenant que j'ai 2 h devant moi et que ma transition à été déclarée "terminatus" par les instances inquisitoriales Belges.... AAAH notre Bernard Guy fritier peut se féliciter, encore une transition qui restera dans les chroniques....


Comme d’habitude, la verve de Stanislas ne s'est pas éteinte avec les dangers qui le menaçaient en 1495.... Tout au plus, vous n'avez que peu de nouvelles durant les années 1496-1497...
Mais dès 1498, le ton change... "Mes amis, je vous envoie cette missive avec un certain désespoir et une lassitude extrême... Le clan des érudits ne me laisse pas en paix, et la vie publique devient pour moi une affaire constamment dangereuse. Les tremeres m'ont déjà fait la joie de me présenter leur salle de jeux, et je ne dois la vie qu'à un concours d'heureuses circonstances. Ils essaient de me réduire à néant, physiquement mais aussi économiquement parlant. Je ne sais que faire."

Les années suivantes seront des périodes prolixes, ou Varga vous tient au courant constamment :
"Si les Tremeres veulent ma mort, je ne peux me tourner vers un appui quelconque de la Camarilla... Et bien, si les fondateurs ne veulent pas aider leur principal fournisseur en ressources et armes, il est tant que je tienne la place qui me revient sur Florence. Fini les demi-solutions, je prends part à la défense de mon domaine. Premièrement, j'ai vendu mes mines dans l'est pour en acheter sur les nouvelles terres du baron de Salisbury. Merci Alfred de m'aider dans cette période trouble. Les stocks seront importés sur le continent depuis Douvre, où un entrepôt vient d'être ouvert. J'ai aussi agrandi ma maison, qui tient aujourd'hui le nom de palais Varga, et qui fait face à la vieille ville. Vous êtes invités à venir y résider autant de temps que vous le désirerez... Mes amis, je vous souhaite bonheur dans vos entreprises, et Nicolas, je te félicite pour ton titre, tu le mérites amplement."


En 1507, c'est un pèlerin qui frappe, tour à tour, à chacun de vos refuges... La moitié du visage brûlé, une main décharnée, dans des haillons, le vampire demande asile sur vos terres. Il dit s'appeler Vasile, du clan Ravnos, mais vous le reconnaissez, il s'agit de votre cher Lasombra... "Je ne sais si les tremeres me suivent... Je suis toujours officiellement à Florence pour mes affaires, en train de renforcer mon pouvoir et mes influences sur mon domaine"... je viens apporter ceci. Et il tire de sous sa cape une simple clé. "Si le besoin s'en fait sentir, un refuge existe sous ma chapelle privée, dans Florence... Chacun d'entre nous doit en posséder une, juste au cas où...".
Ce voyage dure 2 ans, durant lesquels bien entendu vous n'avez que peu de nouvelles de lui, juste suffisamment pour vous prouver qu'il n'est pas mort ...

A partir de 1510, la correspondance reprend vivement :
"Les tremeres semblent se fatiguer à me chasser. Leurs diverses tentatives ont échouées même si elles ont joué au retard qu'a pris mon commerce ces dernières années. Je crains moins pour ma vie dans ma praxis, maintenant que je suis devenu sénéchal du primogène lasombra de Florence. Mon visage guérit peu à peu, effaçant les outrages que m'ont fait subir ces sous-frères que sont les suivants d'Etrius. Némésis descendra du ciel, soyez-en sûr, car je ne peux supporter plus avant l'existence de ces dégénérés. Mais je sais aussi que s'il y a un plat qui mérite d'être laissé au repos, c'est bien celui amenant la vengeance à la table."

Vous recevez la même année comme cadeau célébrant la magnificence du palais Varga un portrait, allégorie de chacun de vos clans, et indiquant un V dans chaque coin du cadre, accompagné du courrier "J'ai fait faire ces tableaux par un peintre, il y a quelques temps. Chacun en recevra un, pour vous prouver, encore une fois, mon estime envers vous... Il a été fait par un artiste connu de la péninsule, un certain Raffaello Sanzio da Urbino. Il vient de nous quitter pour partir à Rome, et croyez moi si je vous dit que c'est une terrible perte pour la ville. Que vos entreprises puissent être couronnées de succès."


Jusqu'en 1528, il semble délaisser son rôle d'épaule de la Camarilla pour celui de politique de Florence. Vous le savez, il vous l'a affirmé : pour survivre, il a comprit qu'il lui fallait faire de Florence sa Praxis, même s'il ne veut pas en devenir Prince. Il lui faut devenir indispensable à la ville, économiquement, politiquement, culturellement parlant. Que la seule mention de sa disparition remplisse d'effroi les membres de la Praxis. Et là, il saura que les tremeres ne pourront plus rien contre lui. Et il y arrivera !

Allégorie de quel Clan pour d'Alembert ?

Une vie passionnante ce Varga !

D'Alembert ne communique qu'assez peu durant la dernière décennie. S'il est beaucoup moins sévère envers ses pairs, il vous dit vouloir prendre un peu de recul afin de réfléchir posément à ses devoirs et aux nouvelles responsabilités qui sont les siennes. (Et non, il vous fait grâce de son paragraphe sur l'Honneur et le Devoir. Vous vous demandez s'il nous couve pas quelque chose.)

Il mentionne aussi des troubles dans sa Praxis. Son dernier courrier, datant de 1526, évoque "une conspiration d'une plus grande envergure que ce que j'avais imaginé. Les éléments dont je dispose en ce moment sont contradictoires. Il est certain que mes ennemis ont des ressources importantes mais je ne peux pas encore décider s'il s'agit d'une simple affaire de politique anglo-saxonne visant ma Praxis ou d'une agression me prenant personnellement pour cible.
Je crains néanmoins que Varga et moi-même ayons un ennemi commun et que donc chacun de nous 5 pourrait être pris pour cible. C'est pour cela que je vous recommande de redoubler de prudence en attendant que je sois en mesure de mettre des noms sur mes ennemis. Alors je vous jure que je ferai punir chacun de ces traîtres. On ne s'attaque pas à un Baron d'Albion en toute impunité !"

Votre nosfé adorait ne prend pas la peine de vous envoyer des messages pour vous souhaiter vos anniversaires respectifs, il ne s'appelle d'Alembert.
Par contre, il garde sans doute un doux oeil sur vous...

D'Alembert ,e souhaite pas d'anniversaires. Et n'envoie pas de messages à Wilfried. Faut ire que personne ne sait trop où il est ni ce qu'il fait de son temps. Il ne serait peut-être pas mal reçu s'il venait à rendre visite.

Durant les années 1526-1527, vous recevez parfois plusieurs copies d'un courrier, parfois une unique lettre partiellement illisible car salie et tachée et malmenée par un voyage souvent difficile. Aucune d'entre elle ne mentionne de destinataire.

Tous ces messages comportent le même texte, recopié de façon plus ou moins lisible par une plume pas toujours assurée. Le texte, pas très bien organisé, parle très brièvement des combats victorieux de Nicolas Sabrov aux côtés des Tremeres qui ont permit d'enrayer l'avancée de Shaagra vers Vienne, qui est actuellement contenue au sud de la Pologne. Quelques lignes illisibles ensuite, suivies d'un récit court évoquant des assauts Assamites tenus en échec sur le domaine du Gangrel, achevé par la mention d'une tentative d'assassinat d'un Assamite sous couvert d'un valet, elle aussi échouée.
La lettre se termine sur ces mots : "Ne venez pas me trouver. Mon domaine n'est plus sûr pour personne. Le moindre valet, le moindre erre peut se révéler être un assassin meurtrier. Toute information échangée dans les couloirs de mon donjon profitera aux envahisseurs. Des copies de cette lettre sont probablement déjà aux mains de l'ennemi, c'est pourquoi j'ai prit soin de ne laisser aucune mention du ou des destinataires, et que je les ai moi-même transportées sur une partie du chemin."